HISTOIRE DE SEXE - Partouze au Mexique
Mon
père, un diplomate du Quai d'Orsay, avait
accepté de m'emmener avec lui au cours d'une
de ses missions au Mexique, pendant les vacances
qui ont suivi ma réussite au bac. Après
avoir passé plusieurs jours à Mexico,
nous nous envolâmes pour Cancun, où
il devait rencontrer un ambassadeur d'Amérique
centrale.
Je décidai pendant ce temps de visiter la
ville, mais à la différence de ce
qui s'était passé à Mexico,
aucun guide officiel ne se précipita à
ma rencontre, et je dus recruter un guide "sauvage"
qui parlait un peu le français, un jeune
garçon qui ne devait pas avoir plus de quinze
ans et répondait à l'exotique prénom
de Pepito.
Il me fit visiter consciencieusement la ville et
sa plage, à bord de ma voiture de location.
Quand la visite fut terminée, il me proposa,
moyennant un petit supplément, de me conduire
à une très belle plage qu'il connaissait,
isolée et déserte, contrairement à
celle que nous venions de voir.
En effet, quelques minutes plus tard, nous arrivâmes
à une superbe plage totalement vide. Je ne
pus résister à l'envie de faire trempette,
et n'ayant pas pris la précaution d'enfiler
un maillot, je dus me résoudre à me
baigner nue. Sous-estimant l'âge de Pepito,
je ne pris pas garde à sa présence.
Ma surprise fut donc grande quand, sortant ruisselante
de l'eau, je vis qu'il se branlait, adossé
à un palmier. En m'approchant, je m'aperçus
que sa queue était d'une taille tout à
fait satisfaisante, ce qui m'étonna et me
troubla plus que de raison. Je décidai alors
qu'une petite gâterie ne prêtait pas
à conséquence, d'autant plus que la
plage était toujours déserte. Je m'approchai
donc du garçon en souriant.
- On dirait que le spectacle te plaît, petit
!
- Oui, madame, vous êtes très belle
! s'exclama-t-il.
- Merci, lui répondis-je avec sincérité,
émue malgré moi par son aveu, en m'agenouillant
près de lui. Au fait, tu peux m'appeler Laetitia,
si tu veux...

Je
pris sa queue entre mes doigts. Elle était
très nerveuse et très douce, surtout
son gland, que je caressai de mon pouce, ce qui eut
pour effet de le rendre tout humide. Je donnai alors
un coup de langue pour goûter cette première
offrande, puis continuai sur toute la longueur de
la bite, avant de l'emboucher toute entière.
- Oui, c'est bon comme cela, mademoiselle Laetitia,
soupira le gamin. J'avais au début l'intention
de me contenter de cette fellation, mais le garçon
ne semblait pas prêt à se laisser aller.
Au contraire, le petit diable s'enhardit à
glisser sa main sur mon con et se mit à me
caresser avec une habileté incroyable. Je décidai
alors de tester la résistance de mon jeune
amant. Je lui demandai si il avait déjà
vu le sexe d'une femme. A mon grand étonnement,
il me répondit que oui, mais il ajouta aussitôt
qu'il n'avait jamais vu celui d'une blonde.
- Alors, je vais te montrer le mien, dis-je.
Mais, pendant ce temps, tu ne dois pas te toucher,
sinon j'arrêterais aussitôt ! Excitée
par le traitement cruel que je lui faisais subir,
je m'allongeai sur le sable brûlant et écartai
les cuisses. Mon jeune camarade s'agenouilla devant
moi, tandis que j'entrouvrais pour lui les lèvres
de ma jolie chatte blonde.
J'en caressai quelques instants les grandes lèvres
couvertes d'un duvet soyeux puis glissai sans hésiter
deux de mes doigts tout au fond.
Ils pénétrèrent sans difficulté,
tant j'étais émue par l'insolite de
la situation. Je pistonnai lentement mon con, comme
j'en ai l'habitude, jusqu'à ce que mon clitoris
bandé réclame mon attention. Je le pris
alors entre mes doigts et le manipulai avec tendresse.
Pepito, pendant ce temps, ne perdait pas une miette
du spectacle, les yeux fixés sur mes doigts
luisants de mouille.
Visiblement, il mourait d'envie de se branler ou de
participer à mes propres jeux, mais il n'osait
pas, craignant sans doute que j'interrompe ma démonstration,
comme je l'en avais menacé. La vue de son désarroi
finit par m'émouvoir et je l'autorisai à
me rejoindre. Très souple, il s'agenouilla
devant moi et passa lentement ses doigts sur ma moule
brûlante, que je lui ordonnai de me lécher.
S'exécutant, il se pencha en avant, mais au
lieu de s'intéresser comme prévu à
mon sexe, il me releva les jambes et, m'écartant
les fesses, il posa ses lèvres sur mon anus.
Je sentis alors sa langue agile s'insinuer dans mon
petit orifice. Un instant, je fus vexée de
le voir se désintéresser de ma jolie
chatte que les garçons apprécient tant
habituellement, mais le petit diable savait si bien
y faire, salivant abondamment pour faciliter les va-et-vient
de sa langue sur mon trou du cul, que je me fis rapidement
une raison. Afin de pénétrer plus profondément,
il me retourna ensuite et replongea vaillamment entre
mes fesses, après avoir écarté
celles-ci encore plus largement.
Après quelques minutes de ce traitement génial,
qui me fit onduler sans retenue de la croupe, le pauvre
Pepito n'y tint plus et me prenant par les hanches,
il s'apprêta à me pénétrer.
Afin qu'il n'y eut pas d'erreur de trajectoire, j'entrouvris
de mes doigts les lèvres de mon con, qu'il
investit timidement.
Il se révéla dans cette situation moins
à l'aise que précédemment, ne
parvenant pas à trouver un rythme satisfaisant,
et ressortant même malencontreusement à
plusieurs reprises de mon vagin en feu. C'est au cours
d'une de ces sorties qu'il décida soudainement
de changer d'orifice et que je sentis sa bite venir
buter contre la petite pastille de mon anus. Je crus
d'abord à une fausse manoeuvre, mais Pepito
insista et je compris alors son intention.
Je voulus le dissuader, car je n'avais jamais pratiqué
la sodomie sans prendre auparavant la précaution
de m'enduire de vaseline et je craignais que la pénétration
ne soit douloureuse.
Mais le jeune garçon ne tint aucun compte de
mes récriminations et il força mon cul,
si habilement qu'il fut à l'intérieur
avant même que je m'en aperçoive, un
peu comme une bonne infirmière pratique une
piqûre sans même que l'on s'en rende compte.
La bite de Pepito n'était assurément
pas aussi fine qu'une aiguille, mais, même si
elle était, comme je l'ai dit, d'une taille
remarquable pour son jeune âge, elle n'était
pas aussi énorme que certaines que je m'étais
déjà prises dans cet orifice, ce qui
explique en partie le remarquable succès de
cette opération, d'autant plus que mon anus
était encore humide des délicates attentions
que Pepito lui avait prodiguées peu avant.
Une fois qu'il fut bien au fond, le jeune garçon
entama un intense ramonage de mon pauvre cul qui n'en
demandait assurément pas tant. Une vague de
plaisir d'une intensité extraordinaire m'envahit,
sous ces puissants coups de boutoir. Le jeune garçon
était dans cette position bien plus efficace
que dans la précédente, ce qui ne manqua
de m'étonner. Je me promis de l'interroger
sur les raisons de sa plus grande familiarité
de la sodomie que de la pénétration
vaginale, ce que je fis après qu'il se fut
répandu abondamment entre mes fesses, sous
mes bruyants cris d'orgasme.
Je questionnai donc Pepito, tandis que, rassasiés
de plaisir, nous nous étions effondrés
sur le sable chaud, dans les bras l'un de l'autre.
Il m'avoua sans aucune réticence qu'il pratiquait
régulièrement la sodomie, ce qui m'expliqua
son habileté, mais qu'il avait très
rarement pénétré la chatte d'une
fille.
Je pensai un instant que cela s'expliquait peut-être
par des affinités homosexuelles, mais il m'apprit
aussitôt que la raison en était que sa
copine, qui avait le même âge que lui,
craignait d'être enceinte et qu'ils avaient
trouvé ce système pour baiser en toute
tranquillité. Amusée par cet aveu, j'interrogeai
Pepito sur sa copine. Le garçon me sembla réticent
sur ce sujet, ce qui me surprit un peu après
ce qu'il venait de me raconter.
Je réussis à lui arracher le prénom
de celle-ci, Isabela, mais il se buta totalement quand
je voulus en savoir plus, notamment comment il l'avait
rencontrée. Je connaissais heureusement le
moyen de le faire parler : je pris sa queue, qui durcissait
à nouveau, entre mes doigts, et j'entrepris
de le branler. Après quelques instants de ce
traitement, Pepito, tout rougissant, finit par m'avouer
que la fameuse Isabela était en fait sa soeur
jumelle, avec qui il avait commencé à
baiser deux ans auparavant, alors qu'ils avaient tous
les deux à peine treize ans.
Le garçon, à présent libéré
par son aveu, et constatant que je n'avais pas l'air
choquée plus que cela par celui-ci, m'expliqua
que, très attirés l'un par l'autre depuis
leur enfance, sa soeur et lui avaient commencé
très tôt, dès que les changements
subis par leurs corps les eurent intrigués
et troublés, à entreprendre en commun
l'étude de ces passionnants phénomènes.
Ainsi, le soir, ils se rejoignaient dans le lit de
l'un et là, sous les draps, la fille partait
à la découverte de la bite fraternelle
toujours plus longue et dure, surtout quand elle eut
l'idée de la prendre dans sa bouche, tandis
que le garçon ne cessait de se réjouir
des transformations qu'il constatait sur la motte
de plus en plus fournie de sa soeur. Enfin, quand
ces premiers jeux eurent commencé à
les laisser insatisfaits, un jour où le reste
de la famille était absent, Pepito avait dépucelé
Isabela sur le grand lit parental.
Dès lors, les deux jeunes amants n'avaient
eu de cesse de renouveler cette expérience.
Mais rapidement, Isabela s'était inquiétée
des risques que celle-ci comportait. Elle avait alors
eu l'idée de guider Pepito vers son autre conduit
qui, après quelques tentatives délicates,
se révéla presque aussi accueillant
que le précèdent, et sans aucun danger.
Ainsi s'expliquait le mystère qui m'avait intrigué
peu auparavant : le garçon ayant sodomisé
à de multiples reprises sa soeur depuis ce
moment, il n'était pas étonnant qu'il
maîtrise particulièrement bien cette
technique, comme je l'avais constaté. Le jeune
mexicain n'avait en effet pu pénétrer
le vagin d'Isabela qu'à de rares occasions,
quand ils étaient parvenus à se procurer
des préservatifs, ce qui était particulièrement
difficile et coûteux pour des adolescents mexicains.
D'autre part, une grande partie de ce que Pepito pouvait
économiser sur l'argent qu'il gagnait grâce
à ses visites guidées, après
en avoir donné une part à ses parents,
servait à payer les chambres d'hôtel
où il avait l'habitude d'emmener sa soeur.
En effet, les sodomies qu'ils pratiquaient dans leur
chambre les laissaient de plus en plus insatisfaits,
étant bien sûr obligés de modérer
leurs mouvements et d'étouffer leurs gémissements,
afin de ne pas se trahir auprès de leurs parents
et de leurs jeunes frères et soeurs. Ce n'était
donc qu'à l'hôtel qu'ils pouvaient vraiment
se retrouver seuls et laisser libre cours à
leurs désirs.
Cette confession m'avait mise dans un état
de profonde excitation.
Loin de me choquer, elle réveillait au contraire
en moi des souvenirs troublants: alors que je venais
d'entrer au lycée, une de mes camarades m'avait
fait un aveu similaire, et j'avais à cette
époque de ne pas avoir moi aussi un frère
plus âgé pour me guider dans la découverte
des merveilles que je commençais alors tout
juste à soupçonner. Je m'étais
bien sûr débrouillée différemment,
mais ce fantasme avait continué à me
turlupiner pendant une bonne partie de mon adolescence.
Le récit de Pepito venait de me le ramener
en mémoire, et cela ne contribuait pas peu
à mon excitation actuelle. Pendant que le garçon
parlait, j'avais pris sa pine dans ma bouche et je
m'évertuai à lui démontrer l'étendue
de mes talents en ce domaine, dont il n'avait eu pour
le moment qu'un aperçu rapide.
Constatant qu'il n'avait jusqu'à présent
baisé qu'avec une gamine, je tenais en effet
à ce qu'il garde un souvenirinoubliable de
sa première vraie femme. Mais l'effet de la
confession de Pepito n'avait pas été
que psychologique et ma chatte réclamait de
plus en plus intensément que l'on éteigne
le feu qui la consumait. Je fis donc s'allonger davantage
le garçon sur le sable, et me couchant sur
lui à rebours, je lui offris à nouveau
ma moule à lécher, tandis que je reprenais
ma fellation. Notre soixante-neuf dura un long moment,
le garçon étant remarquablement résistant,
et nous nous livrâmes l'un à l'autre,
sans souci d'un éventuel public. Cela fut certainement
une erreur, car quand nous eûmes fini par jouir
de concert, j'aperçus un couple qui s'éloignait
comme si de rien n'était de la plage, mais
dont l'air justement trop détaché démontrait
qu'il n'avait pas perdu une miette de nos réjouissances.
Je n'en informai pas Pepito, préférant
revenir sur le récit qu'il m'avait fait.
Pendant que nous nous sucions mutuellement, une idée
m'était venue à l'esprit : les deux
jeunes gens cherchaient désespérément
une chambre d'hôtel pour abriter leurs amours,
et j'en avais précisément une à
ma pleine disposition puisque mon père pendant
ses négociations diplomatiques ne rentrait
à l'hôtel que très tard le soir.
Je proposai donc au garçon de lui prêter
cette chambre, mais j'ajoutai à cette promesse
un codicille : je révélai en effet à
Pepito que je désirai être présente
dans la pièce lors de leurs ébats. Je
craignis un instant que l'adolescent ne soit outré
par cette offre vicieuse, mais son sourire franc me
montra qu'il n'en était rien.
Ravi de pouvoir une nouvelle fois se taper sa soeur
dans un hôtel sans aucun doute plus convenable
que ceux qu'ils avaient l'habitude de fréquenter,
il accepta de bon coeur ma proposition, qui apparemment
ne lui posait pas plus de problème moral qu'à
moi. Pepito m'assura en outre que sa soeur serait
tout aussi heureuse que lui de l'occasion que je leur
offrais. Tout en revenant vers la ville à bord
de ma voiture, je fixai donc rendez-vous à
mon guide pour le lendemain, en début d'après-midi,
à mon hôtel.
A l'heure dite, je retrouvai, la petite Isabela et
Pepito à l'entrée de l'imposant bâtiment
dont je leur avais indiqué l'adresse. Tout
intimidés, ils n'avaient pas osé entrer,
craignant que leur mise ne dépare par trop
dans ce luxueux hôtel pour touristes. Ils n'avaient
pas complètement tort, comme je le constatai
en voyant le maître d'hôtel tiquer à
la vue des deux jeunes mexicains.
Il n'osa rien dire en constatant qu'ils m'accompagnaient,
mais je devinai qu'il mourait d'envie de me faire
une réflexion désobligeante. Afin d'indisposer
encore davantage le digne employé, je pris
bien soin d'emprunter avec mes amis l'escalier principal
de l'hôtel, situé juste sous son nez.
Pepito monta le premier, suivi de sa soeur, qui marchait
juste devant moi, une adorable gamine à la
longue chevelure brune, un peu plus grande que lui.
Je pus apprécier dans l'escalier le troublant
arrondi de sa croupe qui tendait le tissu de son jean.
Isabela possédait en effet des formes pour
le moins sensuelles : outre son cul admirable, j'avais
pu admirer devant l'hôtel l'abondante poitrine
de la jeune fille, tout à fait remarquable
chez une adolescente de cet âge. Quand nous
fûmes entrés dans la chambre, le garçon
prit tendrement sa soeur dans ses bras et l'embrassa
sur la bouche avec passion.
Il m'avait expliqué que chez leurs parents
il n'était bien sûr pas question de telles
privautés et que les deux amoureux ne pouvait
donc s'embrasser qu'à la sauvette, ce qui expliquait
la fougue de ce baiser pour une fois échangé
en toute tranquillité.
Je regardais avec amusement, mais aussi un peu d'émotion
cette étreinte fraternelle. La scène
ne me laissait en effet pas indifférente :
outre que les adolescents étaient tous les
deux très beaux, leur lien de parenté
ajoutait à la sensualité de la situation.
Le fait de savoir que j'allais avoir le privilège
de regarder ces deux tourtereaux faire l'amour déclenchait
en moi un trouble de plus en plus intense et une chaude
humidité envahissait mon intimité.
Ondulant de la croupe que lui caressait maintenant
sans aucune retenue son frère, Isabela ressentait
sans doute la même chose que moi.
Quand elle se dirigea vers moi, après s'être
arrachée difficilement à l'étreinte
de son frère et lui avoir ordonné de
se déshabiller d'une voix ferme, je remarquai
en tout cas dans ces yeux une lueur coquine qui en
disait long sur son tempérament explosif. Je
ne doutais plus alors que c'était elle qui
avait corrompu son pauvre frère et avait pris
l'initiative de leurs dépravations coupables.
J'eus une confirmation de la nature sensuelle de la
jeune fille, quand elle me demanda l'autorisation
de m'embrasser pour me remercier de ce que je faisais
pour eux: alors que je lui tendais naïvement
ma joue, Isabela me prit la tête entre ses mains
et posa ses lèvres sur les miennes.
Cela était pas pour me déplaire, ayant
bien souvent pendant mon adolescence embrassé,
et bien plus encore, mes petites camarades, et je
lui rendis bien volontiers son baiser. Sa bouche était
chaude et ma langue s'y insinua sans problème.
Elle y rencontra celle d'Isabela et un délicieux
ballet lingual s'ensuivit. Quand nous nous interrompîmes,
je rouvris les yeux et vis Pepito, entièrement
nu, qui nous observait, l'air bien embarrassé
de sa bite dressée. Sa soeur se retournant
lui sourit et me glissa, sans qu'il put l'entendre
:
- Déshabille-moi, s'il te plaît. Mais
très lentement, surtout...
Je compris que la petite allumeuse avait l'intention
de faire languir son amoureux et je me prêtais
de bon coeur à ce jeu. Isabela portait, comme
je l'ai dit, un jean serré, ainsi qu'un chemisier
blanc, que tendaient ses seins lourds. Je m'intéressai
d'abord à celui-ci, que je déboutonnai
lentement, dévoilant ainsi aux yeux émerveillés
de son frère la poitrine qui n'était
masquée par aucun soutien-gorge. Je ne pus
m'empêcher au passage d'effleurer de mes doigts
ses tétons dressés, ce qui me valut
un sourire reconnaissant.
Le jean connut ensuite le même sort que le chemisier,
et la jeune fille se retrouva en petite culotte. Je
passai alors derrière elle et abaissai le léger
vêtement. M'agenouillant, je plaçai mon
visage à la hauteur de la croupe de ma nouvelle
amie, que je flattai quelques instants.
Elle était bien pleine et adorablement douce,
ce qui m'incita à l'embrasser tendrement à
plusieurs reprises. Je dus interrompre cet agréable
intermède, car Pepito, troublé par la
vision de la toison châtain de sa soeur, réclamait
visiblement qu'on s'intéresse à lui
et Isabela finit par céder à ses supplications
muettes.
L'adolescente alla donc s'agenouiller devant lui et
emboucha sa queue dressée, tandis que je fouillai
dans mon sac afin de leur fournir les préservatifs
promis. Quand je les eus trouvés, je les apportai
à Isabela, qui me proposa d'en enfiler un moi-même
sur la queue de Pepito.
Nous ne pûmes résister à la tentation
de nous amuser un peu à cette occasion, à
la grande joie du garçon, que nous suçâmes
de concert un long moment.
Tantôt nos bouches se réunissaient autour
du noeud, que nous léchions abondamment, non
sans échanger de profonds baisers, tantôt
nous nous partagions la tâche, l'une d'entre
nous suçant la bite du garçon, tandis
que l'autre se chargeait de lécher ses couilles
bien dures. L'intéressé semblait apprécier
particulièrement cette attention, qui était
inédite pour lui, puisque c'était moi-même
quivenait de l'enseigner à Isabela.
C'est ainsi que nous enfilâmes la capote, opération
qui, en dépit de l'extrême humidité
du pénis se révéla assez difficile,
car elle déclencha pour nous deux une véritable
crise de fou-rire, tandis que nos manipulations maladroites
faillirent entraîner l'explosion du pauvre Pepito.
Il était donc temps pour lui d'entrer en action,
et dès que le préservatif fut correctement
placé, Isabela s'installa à quatre pattes
sur le canapé.
Les jambes largement écartées, révélant
ainsi sa moule trempée de désir, elle
attendait l'assaut de son frère jumeau, qui
ne se fit guère attendre. Le garçon
fut d'abord un peu maladroit, comme il l'avait été
avec moi, mais sa soeur l'encourageait en espagnol
avec beaucoup de gentillesse. Je compris qu'elle l'incitait
à penser qu'il était dans son cul, pénétration
qu'il maîtrisait beaucoup mieux.
Ces recommandations semblèrent faire leur effet,
puisque le va-et-vient de Pepito se fit peu à
peu plus régulier, amélioration qui
se traduisit par une montée en puissance des
gémissements d'lsabela. Sans perdre les deux
enfants des yeux, je me déshabillai à
mon tour. Ma chatte réclamait de façon
de plus en plus insistante mon attention et dès
que je fus nue, je m'assis sur le canapé à
côté de Pepito et d'Isabela et j'entrepris
de la satisfaire. Afin que je puisse bénéficier
d'un meilleur point de vue, la jeune fille, qui avait
remarqué mon manège, demanda à
son frère de sortir de son vagin et de s'allonger
sur le canapé.
Elle le rejoignit ensuite et face à moi s'empala
sur le pieu couvert de latex.
Outre le merveilleux spectacle qu'elle m'offrait,
cette position avait pour Isabela l'avantage de lui
permettre de se ramoner elle-même le con et
donc de maîtriser mieux encore la montée
irrésistible de son orgasme. Ma propre jouissance
commençait elle aussi à me bouleverser
et elle se manifesta, tout comme celle de la jeune
mexicaine, par de véritables râles de
plaisir, tandis que Pepito éjaculait dans la
chatte de sa soeur, heureusement protégée
par la capote. Le garçon resta un long moment
inerte après cette explosion, tandis qu'Isabela
venait me rejoindre sur le canapé. Elle me
demanda l'autorisation de m'embrasser pour me remercier
une nouvelle fois des bienfaits que j'avais pour son
frère et elle.
Je ne pouvais pas bien sûr me dérober
à une si charmante requête et j'offris
ma bouche à Isabela, qui y déposa pour
la seconde fois un baiser. D'abord amical, celui-ci
ne tarda pas à devenir fougueux, et je compris
que la petite salope, malgré le profond limage
dont elle venait de bénéficier, n'en
avait pas encore assez.
Comme ma petite séance de masturbation m'avait
moi aussi laissée un peu insatisfaite, je ne
demandai pas mieux que de me laisser aller au désir
d'lsabela. Je vérifiai l'intensité de
celui-ci en passant ma main sur ses seins lourds dont
les pointes dressées étaient dures comme
du bois. Après avoir peloté ses nichons
quelques instants, j'en pris les bouts entre mes doigts
et les pinçai légèrement, puis
m'abaissant un peu, je les suçai avidement.
Mais la jolie Isabela n'était pas égoïste,
et malgré le plaisir que mes caresses lui procuraient,
elle tint à me rendre la pareille.
Je compris rapidement que l'adolescente était
une novice dans ce genre de jeux, à la maladresse
de ses doigts sur mes seins, puis de sa bouche sur
mes mamelons.
Il faut dire que ceux-ci étaient moins développés
que les siens, et elle ne parvenait pas à les
prendre correctement entre ses lèvres pour
me les sucer comme je lui avais fait.
Je lui conseillai donc de me lécher plutôt
les seins, ce qui se révéla tout aussi
agréable. La jeune mexicaine possédait
une langue assez râpeuse qui ne laissai pas
mes bouts indifférents. J'eus bientôt
le désir de la sentir sur ma touffe impatiente.
Je pris donc la tête brune de la fille dans
mes mains et la plaçai entre mes cuisses. Isabela
se révéla dans cette position tout aussi
hésitante que précédemment, mais
cette maladresse, loin de me frustrer, renforçait
au contraire mon excitation.
Je n'avais en effet baisé jusqu'ici qu'avec
des femmes plus expérimentées que moi,
et cela me troublait d'initier à mon tour une
fille à ces réjouissances particulières,
surtout une gamine aussi adorable qu'lsabela. Je prenais
donc mon rôle de professeur très au sérieux
et je guidais précisément l'adolescente
dans sa découverte de mon con :
- Fais glisser ta langue sur ma chatte... Oui, comme
cela, c'est bien, lèche moi ! Un peu plus dure,
maintenant, un peu plus pointue... Glisse le bout
de ta langue à l'intérieur... Ooooooh...
Isabela se prêtait docilement à mes consignes,
et elle progressait ainsi à une vitesse remarquable.
J'eus après quelques minutes l'intuition que
la meilleure pédagogie restait encore celle
de l'exemple et, ayant fait relever la fille, je lui
demandai de s'allonger sur le sol.
Je m'installai alors à cheval sur son visage
et plaçai ma chatte au niveau de sa bouche.
Pendant un instant, tandis qu'Isabela reprenait son
cunilingus un moment interrompu, je pris mes seins
entre mes mains et les malaxai vigoureusement. Mais
la vision de la petite vulve rebondie, et très
velue, de la jeune mexicaine me conduisit à
abandonner cet amusement égoïste et à
me pencher en avant vers celle-ci. Je caressai d'abord
le doux triangle de ses poils, tout en respirant à
pleins poumons les délicates effluves épicées
de la chatte d'Isabela. J'en écartai ensuite
les grandes lèvres, afin de dévoiler
les nymphes toutes roses, déjà brûlantes
de désir.
Le con que j'avais sous les doigts était souple,
mais assez étroit, ce qui n'était pas
surprenant, puisqu'Isabela n'avait que rarement fait
l'amour avec son frère par cette voie. Elle
compensait de toute façon ce petit problème
par une humidité abondante, que je m'empressai
de goûter.
Cette caresse inédite, du moins de la part
d'une autre fille, arrachèrent la jeune fille
à ma propre chatte. Elle avait si bien appris
à me sucer après ses débuts hésitants
que je manifestai de façon véhémente
mon mécontentement. Isabela s'excusa et reprit
aussitôt son méticuleux léchouillage
de mon intimité.
Pepito, pendant ce temps, n'avait pas perdu; son temps,
mais s'était au contraire efforcé à
la force du poignet de retrouver une érection
acceptable, qu'il vint nous présenter fièrement.
Malheureusement pour lui, celle-ci laissa sa soeur
parfaitement indifférente, qui avait trouvé
momentanément un jeu plus distrayant.
Quant à moi, pour qui les effusions entre filles
n'étaient pas une nouveauté, je fis
comprendre au garçon mon profond intérêt
pour ses dispositions retrouvées et l'incitai
à m'en démontrer l'efficacité.
Il s'installa donc derrière moi et s'apprêta
une nouvelle fois à me sodomiser, mon con étant
en l'état actuel des choses à l'entière
disposition d'lsabela.
Celle-ci comprenant nos intentions, eut l'heureuse
initiative de nous faciliter les choses en glissant
sa langue dans la raie de mes fesses, où elle
déposa une quantité appréciable
de salive.
Pepito s'apprêtait à enfiler à
nouveau un préservatif, mais je le dispensai
de cette corvée, connaissant maintenant intimement
mes amis mexicains et leur fidélité
absolue, je savais que je ne risquai strictement rien
avec eux.
Je préférai donc laisser aux deux adolescents
pour leur usage personnel les quelques capotes qui
me restaient. Tout heureux de ce nouveau cadeau, Pepito
m'encula avec son habileté coutumière.
Ainsi prise à la fois par sa queue si efficace
et la langue novice, mais néanmoins agréable,
de sa soeur, comment n'aurais-je pas pris mon pied
?
Afin de ne pas priver Isabela du plaisir que lui procurai
ma bouche, je me retins néanmoins de crier,
et je me contentai de manifester ma jouissance en
ondulant de la croupe et en malaxant vigoureusement
celle de mon amie.
Excité par mon agitation, Pepito accentua encore
le rythme de son ramonage de mon pauvre cul, ce qui
eut pour effet de déclencher son explosion.
Le garçon me remplit d'une abondante giclée
de foutre, avant de sortir sa bite et de finir de
se répandre sur mes fesses. Isabela qui avait
elle aussi joui copieusement, quoique de façon
moins ostensible que nous, s'extirpa alors avec agilité
de dessous moi et vint vicieusement lécher
sur mon cul l'offrande de son frère. z
L'après-midi était déjà
bien avancé, mais nous avions encore du temps
devant nous et, après une douche tout autant
revigorante qu'excitante, Isabela et moi avons recommencé
à faire l'amour. Quand il a à nouveau
été en état, Pepito est venu
nous rejoindre. Après l'avoir gratifié
en commun d'une pipe très amusante, nous nous
sommes toutes les deux positionnées de la même
façon, à genoux sur le canapé,
les jambes largement écartées. Le garçon
nous pénétra l'une et l'autre alternativement,
tandis que nous continuions à nous embrasser
et à nous caresser les seins.
Excité par cette situation inédite pour
lui, il faillit bien éjaculer dans le vagin
de sa soeur, ce qui ne devait absolument pas se produire,
puisqu'il n'avait pas pris la précaution de
se munir d'une capote et j'eus tout juste le temps
de le faire sortir de ce dangereux réceptacle
et de lui offrir ma propre chatte, avant que l'irréparable
ne se produise.
Le jeune mexicain était encore en moi quand
le téléphone sonna : mon père,
qui venait de conclure d'une manière inespérée
sa négociation, m'informait que nous devions
repartir au plus tôt pour Paris.
J'avais tout juste le temps de faire mes bagages avant
qu'il ne vienne me chercher pour que nous partions
à l'aéroport. Je dus donc congédier
mes jeunes amis, que j'embrassai tendrement une dernière
fois.
Très émue, je vis qu'Isabela essuyait
furtivement une larme, et je dus promettre à
l'adolescente que je reviendrai un jour à Cancun.
Depuis que je suis revenue en France, je suis donc
avec beaucoup d'attention l'évolution de la
situation diplomatique en Amérique centrale,
à la grande joie de mon père, qui désire
que je suive ses traces. Mais quant à moi,
au risque de le décevoir, c'est avant tout
dans l'espoir de revoir mes vicieux amis mexicains
que j'appelle de mes voeux une crise internationale
en Amérique centrale ! |